env 265 kilomètres
Après un bon petit déjeuner à l'hôtel nous prenons la route aux alentours des 10h. Il fait toujours un temps magnifique et Néo est heureux de pouvoir enfin monter l'Iseran, puisqu'à chaque fois qu'il a voulu le tenter, il était fermé à cause des intempéries.
Notre périple du jour, le plus fatiguant car les cols sont nombreux et pas simple (beaucoup de petites routes et de bord de route... à vide), nous emmène : L'iseran (2770 m), le télégraphe ( 1566 m), le galibier ( 2645 m), Le lautaret (2058 m) L'izoard ( 2361 m) col de Vars ( 2109 m)
La montée vers L'Iseran avec un barrage près de Tignes
Tignes
Enfin le sommet !
La montée vers L'Iseran avec un barrage près de Tignes
Tignes
Enfin le sommet !
Dans le Télégraphe, nous faisons une pause au dessus, et Néo se fait piquer sous l'oeil par une guèpe... Coup de chance, ormis une gène, cela n'a pas dégénéré.
Le Galibier
Le Lautaret que nous ne faisons que descendre en fait
Le vertige m'a pas mal destabilisée, mais je l'ai fait ! J'ai eu un tantra dans le Galibier "tu es déjà montée, donc tu peux le faire"
Le Galibier
Le Lautaret que nous ne faisons que descendre en fait
Le vertige m'a pas mal destabilisée, mais je l'ai fait ! J'ai eu un tantra dans le Galibier "tu es déjà montée, donc tu peux le faire"
La descente des 3 premières épingles a été une vraie galère !
Allez, c'est parti pour quelques virages...
Dernier col de la journée : col de Vars
La journée a été longue, avec des changements de températures assez flagrants.
L'arrivée à l'hôtel le soir est la bienvenue ! Même si nous sommes en bordure de route, la vue de la chambre avec le soleil couchant est superbe !
Hôtel : Le Sans Souci à Jausiers en bas de la route de la bonnette. Relais Motard. Garage pouvant acceuillir 4 motos gratuit, sinon parc extérieur clos. Chambre petite mais propre. Pompe à essence au relais, essence pas plus chère que dans les autres pompes que nous avons vues. Dommage d'être en bord de route où beaucoup de camions passent même la nuit. 1/2 pension classique en terme de menu. A y refaire nous mangerions ailleurs.
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